Ce matin : tests sur des signaux complexe de musique classique.
J'ai eu physiquement la chair de poule en écoutant le Dies Irae du War Requiem de Britten.
Je crois que c'est plié pour le Doxa, qui ne m'a jamais procuré cette sensation de concert en direct, de musique sans fard ni paillettes, juste brute et réelle. Les coups de tambours et de caisses claires sont ressentis comme ce qu'ils décrivent : des coups de canons qui annoncent la seconde guerre mondiale.
Le HPA s'en sort mieux aussi sur certains passage caractéristiques : le roulement de caisse claire, qui finit normalement par se noyer dans l'énorme masse orchestrale du premier mouvement de la 5ème symphonie de Mahler, reste par exemple audible tout le long.
Le voix sont aussi plus crédibles, sur tous les enregistrements que j'ai écouté depuis deux jours.
On s'approche de la fin des débats pour le choix de l'amplification.